Carême 2022

Cette année la DCC t’invite à découvrir le thème du détachement à travers des anecdotes de volontaires. Chaque dimanche, retrouve le thème de détachement de la semaine, avec une anecdote de volontaire illustrée. Chaque lundi en story, sur Instagram et Facebook, on t’invite à participer à un défi pour la semaine ! 

Mercredi des cendres

©️ musique : https://www.bensound.com/
©️ extraits de vidéos : @terre.eau.togo @josephinelandouer

1er dimanche : je me détache de mon environnement

📌 Une expérience qu’a faite Régis, volontaire DCC en Uruguay 🇺🇾 :

💬 “J’avais envie de m’éloigner de mon environnement classique. Envie de me renouveler, de partir au loin rencontrer d’autres personnes, envie d’aventure et de repousser mes limites. Et je peux dire que j’ai bien été servi ! En Uruguay les visites dans le quartier populaire de San Gabriel étaient parfois très émouvantes. Je voyais des familles qui semblaient cumuler des difficultés. J’ai découvert un nouvel horizon enrichissant et perturbant par moment. Cela pousse à faire plein de choses qu’on n’a pas l’habitude de faire.  

🤝 Il a fallu accepter la résilience et être créatif, se laisser aller à la joie de la rencontre avec l’autre. Par ce détachement, j’ai fait des choses que je n’aurais jamais imaginé faire en France : pas durant une même semaine en tout cas ! J’ai pu découvrir que j’ai bien plus de capacités que ce que je pensais, et humainement parlant, j’ai « élargi » mon esprit, mes capacités de rencontres et de dialogues avec des personnes parfois pauvres, droguées, ou dans la délinquance.  

🙏 Spirituellement, j’ai approfondi ma foi et appris à avancer, confiant dans le Seigneur, beaucoup de choses sont alors possibles ! Et je dirai que désormais, le plus grand défi est de pouvoir « conserver » ces bienfaits une fois revenu dans une vie plus classique en France ! »

©️ illustration : @josephineb.illustrations

📣 « Il quitta les bords du Jourdain; Il fut conduit (…) à travers le désert » Lc 4, 1-13.   La Parole du jour m’invite à quitter mon environnement, à m’en détacher pour me diriger pleinement vers le désert. Ce désert n’est pas qu’un lieu physique, il représente aussi dans mon cœur le lieu dans lequel je vais pouvoir cheminer pendant le Carême pour me préparer à Pâques. 🚶‍♂️

Le défi de la semaine

Je prends le temps d’aller marcher seul(e) une heure, pour réfléchir à ce que je veux mettre en priorité dans ma vie.

2ème dimanche : je me détache de mes habitudes

📌 Géraldine, volontaire DCC au Togo 🇹🇬 en a fait l’expérience :

👩‍⚕️ « Je suis infirmière dans un centre médical au Togo. Chaque jour, avec mes collègues, nous nous retrouvons pour voir l’évolution des patients avant de faire la visite médicale. Un jour, j’ai dû prendre mon mal en patience. Le médecin qui devait me donner la prescription des médicaments et des soins pour la journée est parti et n’est revenu qu’une heure plus tard ! Ne sachant pas ce qu’il voulait, je ne pouvais pas faire la commande de médicaments. J’ai alors eu le sentiment de perdre mes repères dans mon travail, en me retrouvant bloquée sans pouvoir avancer.

🤝 C’était dur d’accueillir ce changement, car j’étais habituée à travailler d’une certaine manière depuis des années. Avec le temps, j’ai réalisé que je ne pouvais pas changer la façon de travailler de mes collègues. Petit à petit, j’ai appris à m’adapter à leur fonctionnement et à leur rythme tout en gardant mon côté rigoureux. J’en retiens que faire attention au besoin de chacun permet de s’intégrer au mieux dans une équipe et de travailler dans la sérénité. »

©️ illustration : @josephinelandouer

📣 “Une voix se fit entendre” Lc 9, 28b-36. Aujourd’hui, la Parole m’invite à me détacher de mes habitudes afin d’écouter ceux qui m’entourent. En ce temps de Carême, j’apprends à m’ouvrir aux autres, à me mettre à leur service et à me détacher de moi-même. 🚶‍♂️

Le défi de la semaine

J’écoute mon entourage et je rends service à quelqu’un dans le besoin.

3ème dimanche : je me détache de mes attentes sur ce qui m’entoure

📌 Cette expérience de détachement, Laure l’a faite au Gabon 🇬🇦 :

💬 « Mon premier séjour à l’orphelinat de Libreville a été à la fois très émouvant et aussi perturbant par moment. En partant en volontariat, je voulais réaliser beaucoup de projets très rapidement, mais en parlant avec des Gabonais et en observant autour de moi, j’ai compris que j’allais devoir être davantage patiente et qu’il fallait m’adapter aux manières locales de travailler pour que cela fonctionne. Il a fallu accepter la résilience, savoir faire preuve de patience, être créative avec les jeunes de l’orphelinat.

👩‍💼 Partie en mission en tant que chargée de projets et de recherche de fonds, j’ai aussi parfois répondu à d’autres besoins en devenant infirmière pour soigner les petits bobos des enfants, peintre pour réfectionner le dortoir, négociatrice pour l’achat de matériel auprès d’artisans ou animatrice pour occuper les enfants après mes journées de travail. J’ai fait des choses que je n’aurais pas fait en France et je me suis énormément plu dans ma mission. Toujours rester positive, optimiste et tourner certaines situations en dérision pour apporter une pointe d’humour m’ont aidé à aller au-delà des difficultés rencontrées.

🤝 Finalement, je me suis même découvert bien plus de capacités que ce que je pensais et j’ai pu rencontrer des personnes de tous horizons : des pauvres, des riches, des « locaux », des expatriés, des personnes vivant dans les matitis (bidonvilles), des ministres et consules… Ce détachement m’a permis de vivre une expérience extrêmement riche, plus encore que ce à quoi je m’attendais !  »

©️ illustration : @josephineb.illustrations

📣 « Laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour (…) Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir” Jn 8, 1-11. La parole d’aujourd’hui m’invite à me détacher des mes attentes sur ce qui m’entoure, de lâcher prise pour me rendre plus disponible au changement dans mon cœur, et recevoir sans doute des fruits plus grands encore que ce que je m’étais imaginé ! 🚶‍♂️

Le défi de la semaine

Avec patience, je me détache de l’exigence que je porte aux gens qui m’entoure dans le travail ou dans ma vie, et j’accueille dans la joie les éventuels imprévus.

4ème dimanche : je me détache de ma sécurité matériel et financière

📌 Une expérience qu’a faite Anne-Charline, volontaire DCC au Sénégal 🇸🇳 :

💬 « Je suis partie en volontariat comme animatrice dans un Foyer de Charité au Sénégal. Cette mission était pour moi, l’occasion de me retrouver afin de faire un discernement vocationnel en vue de rentrer en communauté. Sur place, je partageais ma mission avec mes proches via les réseaux sociaux. J’y consacrais beaucoup de temps. Cependant, après plusieurs mois, j’ai eu le sentiment de ne pas avoir réellement quitté la France.

📱 En effet, j’étais toujours en contact avec ma famille qui m’appelait toutes les semaines. J’ai ressenti le besoin de prendre de la distance avec mon petit confort personnel afin de vivre pleinement ma mission et ainsi cheminer librement. Pour cela, il fallait que j’arrive à me détacher de mon téléphone. Avec le temps, je me suis aperçu que les personnes autour de moi étaient, elles aussi, tout le temps collées à leurs écrans ! Tous à l’affût de la prochaine promotion de mobicarte ! En les voyant, j’ai saturé et pris la décision de me détacher entièrement de la surinformation le temps de mon volontariat !

🙏 Finalement ça n’a pas été trop dure, à tel point, que je finissais par oublier mon téléphone dans ma chambre. À mon retour en France, je suis entrée au Foyer de Charité de Tressaint et par cette expérience j’ai appris à me détacher plus facilement de mon téléphone, à le remettre à sa juste place. »

©️ illustration : @josephine.landouer

📣 « Tout ce qui est à moi est à toi” Lc 15, 31. La Parole du jour m’invite à réfléchir à la place que prennent les biens matériels et financiers dans ma vie. Je suis invité à remettre les choses à leur juste place afin de me recentrer sur les choses essentielles de la vie.

Le défi de la semaine

Je me détache d’un bien matériel ou financier pour l’offrir à quelqu’un qui en a besoin.

5ème dimanche de Carême : je me détache de mes jugements et de mes perceptions

📌 Se détacher de ses jugements et de ses perceptions, Céline, volontaire DCC au Cameroun 🇨🇲 en a fait l’expérience :

💬 « Lorsque mes parents sont venus en visite, nous sommes passés au quartier devant la maman qui vend des beignets. Elle me dit « oh il faut fêter l’arrivée de tes parents, je passerai chez toi, je sais où tu habites ». Moi, gênée d’une telle invitation car je trouvais cela étonnant et intrusif, je lui avais répondu  » D’accord », en me disant qu’elle ne passerait sûrement pas…

🐟 Mais le lendemain soir, elle s’est présentée devant le portail ! Mon réflexe a été de dire à mes parents « mince, elle s’est vraiment invitée à la maison, je ne sais pas si je dois lui proposer de rester prendre un verre… » : mais quand je suis allée au portail, je me suis rendue compte qu’elle venait en fait demander quand est ce qu’elle pourrait apporter du poisson qu’elle avait cuisiné pour mes parents…

🤝 Je me suis sentie bien nulle d’avoir pensé que son intention était de s’inviter alors que c’était de nous faire un cadeau, d’autant plus qu’ici les gens nous accueillent sans problème et hyper facilement chez eux ! Le détachement de mes jugements a été dur sur le moment mais même si le volontariat n’est pas fini et que je n’ai pas encore beaucoup de recul, je sais que cela a été libérateur. »

©️ illustration : @josephineb.illustrations

📣 « Moi non plus je ne te condamne pas” Jn 8, 1-11. La Parole du jour m’invite à ne pas juger ceux qui m’entourent, à accepter les différences, la diversité et à ouvrir mes yeux sur les trésors que portent les personnes que je rencontre.

Le défi de la semaine

Lorsque je serai tenté de juger ou de critiquer, je m’efforcerai de faire un compliment à la place. 

Dimanche des Rameaux : je détache de ma morosité et de ma négativité

📌 Se détacher de sa morosité et de sa négativité, Marie, volontaire DCC au Cameroun 🇨🇲 en a fait l’expérience :

👩‍🏫 « Je suis chargée pédagogique et professeure de musique au Cameroun. Avant mon arrivée, j’ai sympathisé avec l’ancienne volontaire française qui travaillait dans l’école où j’allais effectuer mon volontariat. Une fois sur le terrain, nous avons pris l’habitude d’échanger par message tous les jours. Mais avec le temps, je me suis rendu compte que nos messages étaient plutôt négatifs et que nous échangions principalement sur les choses qui nous dérangeaient ou nous choquaient. Je me suis dit qu’il fallait être plus positives ! Nous avons alors convenu de nous partager chaque soir, nos trois joies de la journée.

📱 J’ai ensuite eu l’idée de partager ce concept avec les autres volontaires français présents au Cameroun en créant un groupe WhatsApp dédié ! Tout le monde s’est pris au jeu et cela m’aide au quotidien à me détacher de ma négativité et à me focaliser essentiellement sur le bien. Je dois avouer que certains soirs c’est difficile de trouver les trois joies ! Mais nous nous efforçons d’y arriver ! Par exemple « avoir retrouvé l’électricité », « avoir retrouvé l’eau », « avoir trouvé un taxi », sont des choses très simples de la vie quotidienne mais qui, au Cameroun, font la joie d’une journée.

💚 Il est vrai que la vie de volontaire n’est pas simple tous les jours, il y a beaucoup de changements et, de chocs culturels. Heureusement, échanger avec les volontaires permet de traverser plus facilement les difficultés et les épreuves. Finalement, le volontariat est une expérience folle mais qui en vaut la peine !

©️ illustration : @josephine.landouer

📣 « Si eux se taisent, les pierres crieront” Lc 19, 28-40. La Parole du jour m’invite à ne pas voir que les aspects négatifs de ma vie mais à me tourner vers la joie, à la laisser s’échapper pour rayonner.

Le défi de la semaine

Je dis à haute voix chaque remarque positive qui me vient à l’esprit, je ne la garde pas pour moi et je la partage à mon entourage.

Jeudi Saint : je me détache de l’image que j’ai de moi même et du regard des autres

📌 Se détacher de l’image qu’on a de nous même et du regard des autres n’est pas simple, mais c’est l’expérience qu’a faite Florence, volontaire DCC à Cuba 🇨🇺 :

💬 « Ma mission consistait à aider les religieuses du village cubain de Perico dans toutes leurs tâches pendant six mois. Un jour, je me suis impuissante en raison de mes propres faiblesses et de celles du pays (pénuries, pauvreté, souffrances des Cubains, régime autoritaire…). Il fallait aussi du courage pour aller vers des étrangers et tisser des liens avec eux. Quant aux religieuses avec qui je vivais quotidiennement, il ne m’était pas facile d’accepter leurs remarques à cause de ma susceptibilité et ma fragilité émotionnelle.

🌎 J’étais partie pour gagner en indépendance et bien vite, je me suis sentie très dépendante des personnes autour de moi car j’étais dans un monde inconnu sur lequel je n’avais aucune maîtrise. Mais tout cela m’a permis de mieux savoir qui j’étais et qui je voulais être. Le détachement était donc à la fois dur et libérateur : dur sur le moment et libérateur a posteriori.

🙏 Ce qui m’a beaucoup aidé pour me détacher et avoir confiance a été la prière : confier à Dieu ce qui me faisait mal et les personnes avec qui j’avais du mal. Appeler mes proches au téléphone était aussi un grand réconfort, notamment pour prendre de la distance avec ce qui m’arrivait. J’en ressors vraiment grandie, je suis devenue plus forte et résistante, sans perdre mon empathie, et les sœurs avec qui j’ai vécu sont même devenues mes deux grands-mères, m’apportant une douceur très maternelle. « 

©️ illustration : @josephineb.illustrations

📣 « Quel est en effet le plus grand : celui qui est à la table, ou celui qui sert ?” Luc 22, 14-23, 56. La Parole du jour m’invite à sortir de l’image que j’ai de moi-même. Par ce dépouillement, j’apprends à me mettre activement au service de l’autre et à accueillir humblement sa charité. 🤲

Vendredi Saint : je me détache de mon appréhension de la souffrance

📌 Se détacher de mon appréhension de la souffrance, cette expérience, Céline, volontaire DCC au Cameroun 🇨🇲 l’a faite :

👩‍⚕️ « Je suis médecin généraliste dans un centre de santé au Cameroun. Au début de mon volontariat, j’ai reçu des parents avec leur bébé d’une semaine. Le bébé avait 40°C de fièvre, était déshydraté, geignard, dans un état vraiment inquiétant. Les parents n’avaient pas les moyens d’aller à l’hôpital. La maman s’est mise à pleurer en disant qu’elle avait déjà perdu deux enfants sur quatre et qu’elle ne supporterait pas d’en perdre un autre. Le papa était tout penaud à côté.

💬 Ce jour-là, je me suis sentie terriblement mal. Un sentiment d’injustice, de révolte m’envahissait et beaucoup de questions me venaient en tête : Comment peut-on laisser souffrir les gens comme ça ? Comment accepter ça ? Mes collègues me disaient : « il faut serrer le cœur » et un ami me confia cette phrase :  » Considérez l’inadmissible avec calme et ne vous y habituez pas ». Chaque jour, je fais face à beaucoup de situations similaires qui me révolte et qui sont très dures à accepter !

🤝 Mais avec le temps, je pense qu’un certain détachement est absolument nécessaire pour persévérer dans ma mission. Je me dis que je ne pourrai pas enlever toutes les souffrances mais j’essaie d’accompagner au mieux les patients. Dans certaines situations, je suis impuissante mais je ne minimise pas les moments où j’aide, je soigne, je soulage. Dans une démarche d’humilité et avec un grand respect des parcours des patients, je prends le temps de les écouter, de les examiner, de répondre à leurs questions lors des consultations. Voir dans leurs yeux beaucoup de reconnaissance me donne énormément de force pour continuer ma mission. »

©️ illustration : @josephine.landouer

📣 « Qui cherchez-vous ?” Jn 18, 1 -19, 42. La Parole du jour m’invite à contempler et accueillir la souffrance, à me détacher de toute vaine gloire.

Samedi Saint : je me détache de l’agitation

📌 Se détacher de l’agitation, Joséphine, volontaire DCC en Inde en a fait l’expérience 🇮🇳 :

💬« Je suis partie en volontariat en tant que coordinatrice de parrainage dans une école de musique en Inde. A mon arrivée, j’étais excitée de découvrir une nouvelle culture car c’était la première fois que je venais dans ce pays. Mais après quelques semaines de travail, j’ai commencé à découvrir quelques difficultés dans ma mission notamment liées à la barrière de la langue : je faisais souvent face à des situations d’incompréhension avec les indiens. C’était en partie dû à la langue mais aussi à un manque de communication liées à nos différences culturelles. Ce n’était pas facile car j’avais l’impression que la langue était un obstacle pour approfondir ma relation avec les personnes que je rencontrais. Au début cela m’agaçait beaucoup et avec le temps ce sentiment s’est transformé en tristesse.

🚶‍♀️ J’ai alors ressenti le besoin de prendre un temps seule, loin de tout, pour réfléchir. Je suis allé me promener au bord d’un lac. Il n’a pas fallu longtemps avant qu’une petite fille, venue du village d’à côté vienne à ma rencontre. Elle essayait de me parler dans son dialecte et encore une fois je ne comprenais pas, j’avais l’impression que le destin s’acharnait contre moi ! Mais tant bien que mal j’ai essayé d’échanger avec elle, par des mimes. On ne se comprenait pas mais on a bien rigolé et voir son sourire m’a fait relativiser.

🤝 J’ai fini par me dire que je tissais des liens différents mais tout aussi enrichissants avec les personnes que je rencontrerai ! Finalement, en me détachant du monde, de mes pensées agitées et avec un peu d’humilité, j’ai fini par accepter le fait que parfois, je n’avais pas besoin de tout comprendre et qu’un acte concret ou qu’un sourire pouvait dire beaucoup plus qu’une parole. »

©️ illustration : @josephineb.illustrations

📣 « Elles se rappelèrent des paroles qu’il avait dites” Lc 24, 1-12. La Parole du jour m’invite à rester dans le silence, à consacrer un jour à la réflexion et la prière. Il m’invite à demeurer confiant et plein d’espérance face aux épreuves de ma vie, pour accueillir et recevoir avant de donner. 🙏

Dimanche de Pâques : je me donne !

📌 Aujourd’hui le thème c’est : je me donne !
À l’image des volontaires sur le terrain, célébrons Pâques dans la joie en témoignant des fruits reçus durant le Carême à travers le détachement. 🌸

©️ illustration : @josephine.landouer

📣 « À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route » Lc 24, 13-35. La parole du jour nous invite à accueillir la bonne nouvelle, à la transmettre autour de nous et à la partager afin qu’elle touche le cœur du plus grand nombre !

Le défi du jour

« Envoyez un message à quelqu’un pour témoigner du bien que vous avez perçu au cœur de l’épreuve, pour lui transmettre votre joie ! »